Jusqu’où peuvent-ils aller ?
Sincères amitiés à nos fidèles lecteurs que nous remercions pour ces commentaires encourageants et pleins de bon sens qui ont été publiés suite à notre précédent article.
Certes nous ne sommes pas nés de la dernière pluie, même si elle a été abondante ces derniers mois, mais nous sommes toujours atterrés devant le comportement de certains politiques (heureusement peu nombreux souhaitons-le !), prêts aux pires malversations et surtout aux pires attaques diffamatoires pour sauver leurs têtes.
Comme chacun a pu le constater, nous venons encore d’en être victimes. Nous venons de subir une attaque journalistique visant à laisser planer le doute que nous soyons des « promoteurs fantômes » ou encore des « délinquants en col blanc » sur commandite, cela paraît d’une évidence tellement criante, d’un maire qui n’arrive pas à se tirer des pires ennuis judicaires qu’il vit depuis nombre d’années. Acculé en procès interminables par la Société Hippique Saint Seurin, à laquelle il a concédé un bail emphytéotique sur une propriété communale de 40 hectares (bien public accordé à un privé sans contre-partie), et par l’un des membres de son bureau qui fut champion olympique, le maire de cette charmante cité préfère laisser s’enfuir quelques milliers d’emplois et une manne extraordinaire de plusieurs millions de touristes par an plutôt que de prendre ses responsabilités et de dénoncer ce bail comme la loi l’y autorise.
En effet, en vertu des articles A26 et A27 du code du domaine de l’état, des articles L. 2121-1, L. 2122-1, L. 2122-2, L. 2122-3, R2122, R2122-4, R2122-5 du code général de la propriété des personnes publiques, le maire est en droit de dénoncer sans autre forme de procès et sans indemnité tout bail concédé à un privé ou à un organisme privé (c’est le cas ici) lorsque sur la propriété concernée, il apporte un projet d’intérêt général. Nous sommes bien dans cette situation ne serait-ce qu’en regardant les milliers d’emplois créés et sans aller plus loin que cela.
Au lieu de cela le maire de Saint Seurin sur L’Isle, Marcel Berthomé, a préféré nous informer qu’il ne souhaitait pas nous vendre cette propriété de sa commune (bien public), et de la laisser en mains de la Société Hippique Saint Seurin (personne privée), plutôt que d’affronter cette dernière et selon lui Pierre Durand qui, toujours selon lui, lui fait les pires misères depuis de nombreuses années !!!
Certes Pierre Durand jouit de cette réputation d’être un féroce et brillant procédurier, ce qui est son droit le plus entier et nous lui reconnaissons ce droit, mais le problème n’est pas là, posons-nous plutôt la question de savoir qu’est-ce qui fait tant peur à Marcel Berthomé ? Surtout lorsque l’on sait qu’il s’agit d’un personnage dont les qualités de « battant » et d’homme qui se bat toujours bec et ongles pour ses convictions et surtout pour le bien commun, est reconnu de tous !!!
Quand bien même n’aurait-il pas souhaité nous concéder cette propriété pour des raisons qui manifestement aujourd’hui, et sans conteste possible, son très personnelles, pourquoi ne pas nous le dire clairement, au lieu de nous faire perdre des années et beaucoup d’argent (qu’il prétend que nous n’aurions pas, mais nous l’avons néanmoins bel et bien jeté par les fenêtres à cause de lui) de profiter d’une interview d’un journaliste pour laisser planer certains doutes infondés et diffamatoires à notre encontre. Il savait que ce journaliste local serait tout acquis à sa cause puisqu’il représente son gagne-pain. En effet qu’un correspondant de presse local se froisse avec les politiques de sa région et il n’écrit plus rien, tout le monde sait cela.
Est-il encore utile de vous rappeler, chers lecteurs et amis, que nous n’agissons que dans la transparence et que toutes ces accusations qui nous sont opposées ne sont que diffamatoires, infondées et n’ont pour but que de chercher à nous décrédibiliser pour que ces accusateurs sauvent leur tête et par là leur fonction électorale, leur prestige, et quelque part, nous le savons tous, leur compte en banque.
En effet, ils ont tous sur leurs bureaux les documents qu’ils prétendent ne pas connaître, ils ont tous sur leur bureau les documents attestant de l’évidence des fonds que nous souhaitons investir, ils savent tous que nos dossiers sont parfaitement aboutis et que seule leur volonté de faire peut les rendre effectifs. Ces documents qu’ils ont sont de plus publiés en libre consultation sur internet. Alors, sommes-nous des « promoteurs fantômes », des « délinquants en col blanc », ou au contraire, ne sommes-nous dirigés dans ce cas précis que par des incapables, des irresponsables imbus de leur personne et de leur fonction ? La question est posée, donnez-nous en toute liberté votre réponse.
Très cordialement vôtre.